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La humanidad ha quedado sepultada bajo un eterno invierno. Las bajas temperaturas se ven acompañadas frecuentemente con grandes tormentas o lluvias. Los cambios en el clima tienden a ser bruscos e impredecibles.

Aquí va un payo
Aquí va otro payo
Aquí va otro payo Aprovecho para decir, que seguro que aquí leeis (?, que el reproductor este de arriba.. cogí las canciones del primer juego y siquiera las he escuchado xDDDDD! Pero tienen pinta de ser algo cutrillas. Decidme si alguien quiere ponerse a elegir canciones y os doy la cuenta D:
Élite
0/100
Blablabla. Robé la trama de aquí, las tablillas de aquí y las imágenes de allá. Los derechos me los reservo porque uso laca y cualquier queja vais y tocáis la puerta de mi tío Paco.

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Mensaje por Sascha Sáb Feb 08, 2014 10:00 pm

▲HANSA
"frase del grupo frase del grupo"
Les anges attendent, dehors, mon front. Les anges, au gré du vent, dans les frimas, comme blanches paupières anxieuses, Battent des ailes, Brûlent le songe dans la maison du noir. Et les lumières du ciel, les lumières du sable, vibrent ensemble dans cette attente. Mes mains ? ouvertes, écartelées, ouvertes dans le sang! Les portes de ma solitudes, branlantes dans les miroirs du vent.
Et toutes les feuilles nées de la Nature, Qui veillent autour sur cet éclairage de tristesse et d'anxiété.
Mais je ne puis m'absenter, et d'aucune façon, dérider les formes de ma vision. J'ai à subir, croyez-moi, nombre paroles et maints climats, Les multiples haleines de l'âme désemparée.

Car le rouge est là ! ce rouge extrême auprès de mes regards, ce rouge aux tempes et dans me mains. Et les battements pénibles de la porte viennent jeter, de temps à autre, dehors, le trouble dans les beaux visages de cette légion. Et la lumière, qui se défie, me garde autour comme une attente rouge dans les murs. Ces oiseaux parsemés devant, miroitent dans les airs -Ces grands oiseux qui se réclament d'un si long voyage, Qui m'apprennent, en cette virtuosité de vol, Les eaux premières que je n'ai pu boire! Et la lumière, comme une pensée à la cime même de l'esprit. Qui franchirait, vers l'extérieur, ces murs ? Comme une écorce bien ajustée
Ils nous maintiennent dans cet élan, droits vers le ciel de toute immobilité.

Et mes veines qui s'asphyxient! Mes veines, chargées de larmes, qui pèsent tant dans mon cerveau. Allez ! fuyez ma vie, fuyez-la donc, présences du dehors, et ne me faites plus souffrir cette glace dans la terreur. Mais il y a ce vent, ce vent de tous les lieux! Le vent qui, prompt, s'apprête à dévaster jusque dans les blancheurs limpide de mon front!
© Creación Metro Last Light



▲POLIS
"frase del grupo frase del grupo"
Les anges attendent, dehors, mon front. Les anges, au gré du vent, dans les frimas, comme blanches paupières anxieuses, Battent des ailes, Brûlent le songe dans la maison du noir. Et les lumières du ciel, les lumières du sable, vibrent ensemble dans cette attente. Mes mains ? ouvertes, écartelées, ouvertes dans le sang! Les portes de ma solitudes, branlantes dans les miroirs du vent.
Et toutes les feuilles nées de la Nature, Qui veillent autour sur cet éclairage de tristesse et d'anxiété.
Mais je ne puis m'absenter, et d'aucune façon, dérider les formes de ma vision. J'ai à subir, croyez-moi, nombre paroles et maints climats, Les multiples haleines de l'âme désemparée.

Car le rouge est là ! ce rouge extrême auprès de mes regards, ce rouge aux tempes et dans me mains. Et les battements pénibles de la porte viennent jeter, de temps à autre, dehors, le trouble dans les beaux visages de cette légion. Et la lumière, qui se défie, me garde autour comme une attente rouge dans les murs. Ces oiseaux parsemés devant, miroitent dans les airs -Ces grands oiseux qui se réclament d'un si long voyage, Qui m'apprennent, en cette virtuosité de vol, Les eaux premières que je n'ai pu boire! Et la lumière, comme une pensée à la cime même de l'esprit. Qui franchirait, vers l'extérieur, ces murs ? Comme une écorce bien ajustée
Ils nous maintiennent dans cet élan, droits vers le ciel de toute immobilité.

Et mes veines qui s'asphyxient! Mes veines, chargées de larmes, qui pèsent tant dans mon cerveau. Allez ! fuyez ma vie, fuyez-la donc, présences du dehors, et ne me faites plus souffrir cette glace dans la terreur. Mais il y a ce vent, ce vent de tous les lieux! Le vent qui, prompt, s'apprête à dévaster jusque dans les blancheurs limpide de mon front!
© Creación Metro Last Light



▲RED LINE
"frase del grupo frase del grupo"
Les anges attendent, dehors, mon front. Les anges, au gré du vent, dans les frimas, comme blanches paupières anxieuses, Battent des ailes, Brûlent le songe dans la maison du noir. Et les lumières du ciel, les lumières du sable, vibrent ensemble dans cette attente. Mes mains ? ouvertes, écartelées, ouvertes dans le sang! Les portes de ma solitudes, branlantes dans les miroirs du vent.
Et toutes les feuilles nées de la Nature, Qui veillent autour sur cet éclairage de tristesse et d'anxiété.
Mais je ne puis m'absenter, et d'aucune façon, dérider les formes de ma vision. J'ai à subir, croyez-moi, nombre paroles et maints climats, Les multiples haleines de l'âme désemparée.

Car le rouge est là ! ce rouge extrême auprès de mes regards, ce rouge aux tempes et dans me mains. Et les battements pénibles de la porte viennent jeter, de temps à autre, dehors, le trouble dans les beaux visages de cette légion. Et la lumière, qui se défie, me garde autour comme une attente rouge dans les murs. Ces oiseaux parsemés devant, miroitent dans les airs -Ces grands oiseux qui se réclament d'un si long voyage, Qui m'apprennent, en cette virtuosité de vol, Les eaux premières que je n'ai pu boire! Et la lumière, comme une pensée à la cime même de l'esprit. Qui franchirait, vers l'extérieur, ces murs ? Comme une écorce bien ajustée
Ils nous maintiennent dans cet élan, droits vers le ciel de toute immobilité.

Et mes veines qui s'asphyxient! Mes veines, chargées de larmes, qui pèsent tant dans mon cerveau. Allez ! fuyez ma vie, fuyez-la donc, présences du dehors, et ne me faites plus souffrir cette glace dans la terreur. Mais il y a ce vent, ce vent de tous les lieux! Le vent qui, prompt, s'apprête à dévaster jusque dans les blancheurs limpide de mon front!
© Creación Metro Last Light



▲IV REICH
"frase del grupo frase del grupo"
Les anges attendent, dehors, mon front. Les anges, au gré du vent, dans les frimas, comme blanches paupières anxieuses, Battent des ailes, Brûlent le songe dans la maison du noir. Et les lumières du ciel, les lumières du sable, vibrent ensemble dans cette attente. Mes mains ? ouvertes, écartelées, ouvertes dans le sang! Les portes de ma solitudes, branlantes dans les miroirs du vent.
Et toutes les feuilles nées de la Nature, Qui veillent autour sur cet éclairage de tristesse et d'anxiété.
Mais je ne puis m'absenter, et d'aucune façon, dérider les formes de ma vision. J'ai à subir, croyez-moi, nombre paroles et maints climats, Les multiples haleines de l'âme désemparée.

Car le rouge est là ! ce rouge extrême auprès de mes regards, ce rouge aux tempes et dans me mains. Et les battements pénibles de la porte viennent jeter, de temps à autre, dehors, le trouble dans les beaux visages de cette légion. Et la lumière, qui se défie, me garde autour comme une attente rouge dans les murs. Ces oiseaux parsemés devant, miroitent dans les airs -Ces grands oiseux qui se réclament d'un si long voyage, Qui m'apprennent, en cette virtuosité de vol, Les eaux premières que je n'ai pu boire! Et la lumière, comme une pensée à la cime même de l'esprit. Qui franchirait, vers l'extérieur, ces murs ? Comme une écorce bien ajustée
Ils nous maintiennent dans cet élan, droits vers le ciel de toute immobilité.

Et mes veines qui s'asphyxient! Mes veines, chargées de larmes, qui pèsent tant dans mon cerveau. Allez ! fuyez ma vie, fuyez-la donc, présences du dehors, et ne me faites plus souffrir cette glace dans la terreur. Mais il y a ce vent, ce vent de tous les lieux! Le vent qui, prompt, s'apprête à dévaster jusque dans les blancheurs limpide de mon front!
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▲ESTACIONES INDEPENDIENTES
"frase del grupo frase del grupo"
Les anges attendent, dehors, mon front. Les anges, au gré du vent, dans les frimas, comme blanches paupières anxieuses, Battent des ailes, Brûlent le songe dans la maison du noir. Et les lumières du ciel, les lumières du sable, vibrent ensemble dans cette attente. Mes mains ? ouvertes, écartelées, ouvertes dans le sang! Les portes de ma solitudes, branlantes dans les miroirs du vent.
Et toutes les feuilles nées de la Nature, Qui veillent autour sur cet éclairage de tristesse et d'anxiété.
Mais je ne puis m'absenter, et d'aucune façon, dérider les formes de ma vision. J'ai à subir, croyez-moi, nombre paroles et maints climats, Les multiples haleines de l'âme désemparée.

Car le rouge est là ! ce rouge extrême auprès de mes regards, ce rouge aux tempes et dans me mains. Et les battements pénibles de la porte viennent jeter, de temps à autre, dehors, le trouble dans les beaux visages de cette légion. Et la lumière, qui se défie, me garde autour comme une attente rouge dans les murs. Ces oiseaux parsemés devant, miroitent dans les airs -Ces grands oiseux qui se réclament d'un si long voyage, Qui m'apprennent, en cette virtuosité de vol, Les eaux premières que je n'ai pu boire! Et la lumière, comme une pensée à la cime même de l'esprit. Qui franchirait, vers l'extérieur, ces murs ? Comme une écorce bien ajustée
Ils nous maintiennent dans cet élan, droits vers le ciel de toute immobilité.

Et mes veines qui s'asphyxient! Mes veines, chargées de larmes, qui pèsent tant dans mon cerveau. Allez ! fuyez ma vie, fuyez-la donc, présences du dehors, et ne me faites plus souffrir cette glace dans la terreur. Mais il y a ce vent, ce vent de tous les lieux! Le vent qui, prompt, s'apprête à dévaster jusque dans les blancheurs limpide de mon front!
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▲ESPARTANOS
"frase del grupo frase del grupo"
Les anges attendent, dehors, mon front. Les anges, au gré du vent, dans les frimas, comme blanches paupières anxieuses, Battent des ailes, Brûlent le songe dans la maison du noir. Et les lumières du ciel, les lumières du sable, vibrent ensemble dans cette attente. Mes mains ? ouvertes, écartelées, ouvertes dans le sang! Les portes de ma solitudes, branlantes dans les miroirs du vent.
Et toutes les feuilles nées de la Nature, Qui veillent autour sur cet éclairage de tristesse et d'anxiété.
Mais je ne puis m'absenter, et d'aucune façon, dérider les formes de ma vision. J'ai à subir, croyez-moi, nombre paroles et maints climats, Les multiples haleines de l'âme désemparée.

Car le rouge est là ! ce rouge extrême auprès de mes regards, ce rouge aux tempes et dans me mains. Et les battements pénibles de la porte viennent jeter, de temps à autre, dehors, le trouble dans les beaux visages de cette légion. Et la lumière, qui se défie, me garde autour comme une attente rouge dans les murs. Ces oiseaux parsemés devant, miroitent dans les airs -Ces grands oiseux qui se réclament d'un si long voyage, Qui m'apprennent, en cette virtuosité de vol, Les eaux premières que je n'ai pu boire! Et la lumière, comme une pensée à la cime même de l'esprit. Qui franchirait, vers l'extérieur, ces murs ? Comme une écorce bien ajustée
Ils nous maintiennent dans cet élan, droits vers le ciel de toute immobilité.

Et mes veines qui s'asphyxient! Mes veines, chargées de larmes, qui pèsent tant dans mon cerveau. Allez ! fuyez ma vie, fuyez-la donc, présences du dehors, et ne me faites plus souffrir cette glace dans la terreur. Mais il y a ce vent, ce vent de tous les lieux! Le vent qui, prompt, s'apprête à dévaster jusque dans les blancheurs limpide de mon front!
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